Happyflor Z cubi 1000 kg
€ 1.144,80
Un sirop de qualité 100% assimilable par l’abeille, à haute valeur énergétique, appétant tout en limitant le pillage, avec des avantages apicoles importants et des livraisons vrac suivant vos besoins.
Nourrir les colonies avant l’hiver : quand ? Comment ?
Commençons par examiner les abeilles d’hiver pour comprendre le nourrissement. On appelle les abeilles d’hiver, les ouvrières qui naissent après l’été et jusqu’en novembre. De plus, ce sont elles qui assureront la pérennité de la colonie durant les mois les plus difficiles. Alors, comment renforcer les réserves hivernales ? Comment nourrir les abeilles avant l’hiver ?
Idéalement, le premier nourrissement pourrait avoir lieu dès la mi-août. En fait, ceci n’est valable que si l’on ne transhume pas sur une miellée tardive. Toutefois, les premières naissances dépendent de différents facteurs : génétiques, stimuli internes à la colonie ou du climat difficile à prévoir. L’objectif sera alors de relancer la ponte de la reine pour obtenir une population d’abeilles d’hiver plus importante. De plus, ces abeilles sont biologiquement différentes de leurs homologues du printemps. Leurs corps gras sont plus développés au niveau de la tête et de l’abdomen. En bref, cette réserve d’énergie supplémentaire leur permet de mieux résister au froid.
Par conséquent, nourrir avec Happyflor, un sirop sans maltose et proche du nectar, c’est conserver l’énergie donnée aux colonies et la garantie de leur permettre une meilleure résistance. Il faut dire que les principaux sucres présents en forte concentration dans les nectars de fleurs, comme dans les miels sont : le glucose et le fructose. D’ailleurs, lorsqu’on examine attentivement la composition du nectar et du miel, le saccharose y est faiblement présent. Enfin, c’est le fructose, 100% assimilable qui donne le « gras » aux abeilles et leur apporte l’effet thermique pour la production de chaleur.
Nourrir les abeilles en hiver avec Happyflor Z ? Pourquoi ?
Pour commencer, les glucides (sucres) sont les principaux constituants du nectar des fleurs et représentent la principale source d’énergie pour les abeilles. Le glucose, le fructose et le saccharose sont les sucres du nectar les plus courants. Ils illustrent parfaitement la recette d’Happyflor Z. En fait, le rapport fructose / glucose / saccharose des nectars floraux varie considérablement d’une espèce végétale à l’autre mais est aussi lié aux types de pollinisateurs.
C’est en partant de ce constat, qu’en 2017, la version d’Happyflor Z fut élaborée à Ingwiller en Alsace avec la collaboration et le soutien de plusieurs éleveurs notamment Raymond Zimmer. Ami de longue date du « Frère Adam », c’est par son expérience d’apiculteur alsacien et la clarté de son enseignement que cette recette fut élaborée. Proche du nectar de fleurs, première source d’énergie des abeilles, Happyflor Z est largement utilisé pour le nourrissement automnal. En résumé, Happyflor Z est parfaitement adapté pour l’élevage, la production d’essaims et aux régions montagneuses.
C’est quoi un bon sirop de nourrissement ?
Tout d’abord, votre sirop doit être le plus proche du nectar de fleurs dans sa composition. En conséquence, avoir un fort pourcentage de fructose (55%) et de glucose (27%). Un faible pourcentage de saccharose (16%). Le mieux, votre sirop doit être doux, très fluide et appétent. De plus, être très stable en concentration. D’ailleurs, la composition d’Happyflor Z est des plus vitale pour optimiser les réserves. En effet, les abeilles stockent le sirop et reconstituent rapidement les réserves dont elles auront besoin pour passer l’hiver. Pour finir, rendez-vous en février/mars pour les premiers coups d’œil à la ruche et à son redémarrage d’activité.
Pourquoi Happyflor Z est-il un nourrissement sans conservateur de synthèse et qu’il ne cristallise pas ?
Zéro conservateur : c’est avant tout grâce à la pureté des matières premières sélectionnées avec soin qu’Happyflor n’a pas besoin de conservateurs. Un bon contrôle de ces dernières permet d’obtenir une bonne traçabilité depuis leur origine. Ainsi, c’est ce qui nous permet de produire un sirop qualitatif pour nourrir les abeilles.
Si certains fabricants ou distributeurs marquent sur leurs emballages l’origine du sirop, trop peu précisent l’ajout de conservateur de synthèse (E202 ) pouvant altérer sérieusement le microbiote intestinal des abeilles. Rappelons que le E202 est un antimicrobien et antifongique issu de la pétrochimie.
Bref, ce mutagène est aussi très présent également dans les colles et les peintures industrielles. Puisqu’il permet d’allonger les dates de péremption (DDM/DLUO) de certains sirops de nourrissement industriels.
Zéro cristallisation : c’est par la maîtrise de l’assemblage entre fructose, glucose, saccharose et le juste pourcentage de matière sèche que nous optimisons la stabilité d’Happyflor. En conclusion, que ce soit dans les cuves en stockage extérieur ou dans les nourrisseurs, Happyflor ne cristallisera pas.
Nourrir les abeilles avec Happyflor : les avantages au rucher.
Derrière une recette simple se cache souvent beaucoup de recherche et de savoir-faire pour faciliter le travail de l’apiculteur.
- Fluidité : mise en œuvre facile.
- Apport énergétique régulé : l’intervalle entre deux prises alimentaire est un des facteurs régulant le niveau énergétique de l’abeille
- Favorise la prise de poids des ruches
- Distribution facile, ne cristallise pas
- Utilisation du sirop de nourrissement : pur ou dilué. Si dilution, le mélange doit être utilisé rapidement.
- L’hiver : pas besoin d’être réchauffé.
- Matière sèche : 75%, eau : 25% (+/-1). PH : 5.5
- Stockage facile même en extérieur
- DLUO/DDM 24 mois (IBC ou cuves neuves)
- Teneur MAXIMUM en HMF : 15mg/kg.
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